La loi Julia sur la répression des adultères punit du glaive ou de mort non seulement ceux qui souillent la couche d’autrui, mais encore ceux qui osent se livrer à une infâme débauche avec des hommes.
La loi Julia sur la répression des adultères punit du glaive ou de mort non seulement ceux qui souillent la couche d’autrui, mais encore ceux qui osent se livrer à une infâme débauche avec des hommes.
L’obligation disparaît aussi par la remise ou l’acceptilation. Or, l’acceptilation est un paiement imaginaire.