Si un immeuble a été donné en antichrèse, le créancier, à la cessation de sa jouissance, doit répondre de la perte des servitudes.
Si un immeuble a été donné en antichrèse, le créancier, à la cessation de sa jouissance, doit répondre de la perte des servitudes.
Si l’on peut reconnaître celui qui est mort le premier, la question est résolue.