Nous passons nos heures à pleurer.
[Virgile Enéide VI, v.538-539 : sed comes admonuit breviterque affata Sibylla est : Nox ruit, Oena, NOS FLENDO DUCIMUS HORAS – mais la Sibylle sa compagne l’avertit en peu de mots : la nuit vient, Énée, nous perdons notre temps à pleurer]