Erreur de langage.
Le lapsus linguae ne pose aucun problème au juriste, puisqu’il est aussitôt rectifié expressément par l’orateur, à défaut mentalement par l’auditeur.
Erreur de langage.
Le lapsus linguae ne pose aucun problème au juriste, puisqu’il est aussitôt rectifié expressément par l’orateur, à défaut mentalement par l’auditeur.
L’erreur devient faute, si on y tombe une seconde fois.