Periculum rei venditae statim ad emptorem pertinet, tametsi ea res emptori tradita non sit. Itaque si homo mortuus sit, vel aliqua parte corporis laesus fuerit; emptoris damnum est, cui necesse est, licet rem non fuerit nactus, pretium solvere

La perte de la chose vendue incombe aussitôt à l’acheteur, bien que cette chose ne lui ait pas été livrée; de sorte que, s’il meurt ou s’il est blessé dans quelque partie de son corps, cet acheteur devra supporter la perte et payer le prix, bien qu’il n’ait pas obtenu la chose.