La pâle mort frappe sans distinction aux palais des rois comme aux cabanes des bergers.
[Horace, ode IV, livre I, v.13]
La pâle mort frappe sans distinction aux palais des rois comme aux cabanes des bergers.
[Horace, ode IV, livre I, v.13]
La pâle mort frappe d’un pied indifférent les masures des pauvres et les palais des rois.