Le témoin doit déposer de ce qu’il a connu en sa présence, et ainsi comme l’ayant perçu par ses propres sens mais non par les sens d’un autre.
Le témoin doit déposer de ce qu’il a connu en sa présence, et ainsi comme l’ayant perçu par ses propres sens mais non par les sens d’un autre.
Témoin unique, témoin nul.
Cet adage n’a plus cours dans notre droit français.