Tam deest avaro quod habet, quam quod non habet. (Publius Syrus) Ce que possède l’avare lui manque aussi bien que ce qu’il n’a pas.
Tam deest quod habet avaro, quam misero quod non habet. (Publius Syrus) L’avare est privé de ce qu’il a, autant que le malheureux de ce qu’il n’a pas.