En matière de biens dotaux, il faut que l’homme réponde tant de son dol que de sa faute, parce qu’il a accepté la dot pour son compte.
En matière de biens dotaux, il faut que l’homme réponde tant de son dol que de sa faute, parce qu’il a accepté la dot pour son compte.
Dans les circonstances critiques, l’audace est tout.