Si l’usufruit se réunit à une nue propriété donnée en dot, il y a accroissement de dot et non une autre dot, comme s’il y avait accroissement par alluvion.
Si l’usufruit se réunit à une nue propriété donnée en dot, il y a accroissement de dot et non une autre dot, comme s’il y avait accroissement par alluvion.
Si des choses tombent de vétusté, ni le propriétaire, ni l’usufruitier, ne sont tenus de les rebâtir.