L’associé est responsable envers (son) associé de (sa) faute, c’est-à-dire de (son) inertie et de sa négligence.
L’associé est responsable envers (son) associé de (sa) faute, c’est-à-dire de (son) inertie et de sa négligence.
Il est défendu de prendre pour femme (sa) belle mère et (sa) marâtre, parce qu’elles sont au rang de mère.