Il a paru convenable que l’hérédité se divisât non par têtes, mais par souches: de sorte que le fils ait la moitié de l’hérédité et les descendants de l’autre fils aient l’autre moitié, qu’ils soient deux ou plus.
Il a paru convenable que l’hérédité se divisât non par têtes, mais par souches: de sorte que le fils ait la moitié de l’hérédité et les descendants de l’autre fils aient l’autre moitié, qu’ils soient deux ou plus.