Emprunter le langage de la bonté, c’est ajouter à sa perversité.
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Bonis nocet, quisquis pepercerit malis. (Publius Syrus)
C’est nuire aux bons que d’épargner les méchants.
Emprunter le langage de la bonté, c’est ajouter à sa perversité.
C’est nuire aux bons que d’épargner les méchants.