Ton heure m’appartient.
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Tu, quamcumque deus tibi fortunaverit horam, grata sume manu, nec dulcia differ in annum
Quelle que soit l’heure dont Dieu te gratifie, prends-la avec reconnaissance, et ne renvoie pas le bonheur à l’année prochaine.
[Horace, ép. XI, I.1]